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Mon second plan cul en Suisse, une rencontre sans tabou

Voilà mon récit un peu coquin que je souhaite vous faire part. Française, j’ai fait mes études à Lyon et un beau jour, je fi la connaissance de Robert, expert-comptable travaillant pour une grosse société basée à Genève, en Suisse.

Moi, simple secrétaire, imaginait une vie parfaitement linéaire. Je voyais faire mon job consciencieusement tout en menant ma vie d’épouse et mère. Des passe-temps ? Oui, l’équitation et la cuisine, mais je voulais surtout deux enfants, un garçon et une fille.

Mais j’avais connu, jusque-là, un seul homme. Robert, il a déjà eu le mérite de me faire visiter la Suisse, ce beau pays helvète si proche et à la fois si différent de notre chère patrie la France. En fait, je ne voulais pas de vie plan-plan, j’avais une flamme au fond de moi qui me poussais à aller voir d’autres hommes, mon tendre Robert, avec les années, perdra de sex-appeal et se laissa aller. On décida de se séparer lui & moi d’un commun accord.

Fraichement célibataire, libre comme l’air, j’entrepris de me mettre sur les sites de rencontres populaires tel que Tinder, Happn ou encore AdopteunMec. Je n’ai pas trouvé ce que je recherchais, bon nombre des profils masculin comportaient des anomalies et des fausses photos.

Arrivé sur ces faits, lors d’une soirée tupperware, mes copines et moi lancions une discussion autour de la prostitution qui explosait dans les rues et dans les hôtels de luxe sur Genève et les alentours. Quelques femmes présentent ce soir-là avouèrent avoir surpris leur mari au lit avec une jeune inconnue. 

Cette activité m’était totalement taboue jusqu’à cette fameuse soirée.

Excité comme une puce, j’ai retrouvé une forme de naïveté et l’envie de faire quelque chose de mes prochains jours. Mon but allait de me transformer en prostitué à Genève et de faire le tapin afin de voir si je plais toujours, si je retrouve goût à la vie sexuelle et aux plaisirs charnels. La jolie brune que j’étais avait pris quelques rondeurs, mais tout le monde au travail me complimentait. 

Je me sentais bien dans mes chaussures et dans mon corps. Certains hommes trouvaient même que je m’étais embelli avec les années et ça me plaisait beaucoup.
Plus de joues, plus de fesses, des seins énormes, ce qui me rendait pulpeuse. J’avais de quoi plaire aux messieurs qui voulaient avoir une vraie femme dans leur lit et qui débordaient d’envie de sexe.

Mes collègues féminines me trouvaient trop grosse, car il existait une compétition naturelle pour celle qui arriverait éternellement à rentrer dans du 36, ce qui n’était plus mon cas depuis deux décennies. Je me faisais belle, sexy, mes robes à boutons dévoilaient mes cuisses et surtout ma généreuse poitrine par temps chaud. Les hommes, galants comme pervers, adoraient plonger leur regard de braise dans mes nichons et je dois avouer que j’aimais être leur chose.

Oui, mais disons que jusque-là, je n’avais toujours pas eu de secondes bites dans ma vie. Google est mon ami depuis toute petite, je surfe, j’apprends et je comprends vite du monde qui nous entoure. On me dit être une « Une allumeuse », alors je me lance et je finis par poster une annonce sur https://www.fgirl.ch/

 

 

Mes débuts sur le site

Un site de rencontre adultère, pour couple, homme seul, on peut y voir des masseuses érotiques, masseuses tantra, des transsexuels, des reines de la domination et du téléphone rose.

Vu que je m’ennuyais au lit avec Robert, ce site de speed dating pour adulte va me permettre de faire des rencontres avec un but précis, vivre ma seconde histoire de sexe. Ma demande faite sur le site, je deviens certifié et j’attends les appels qui n’ont pas tardé à se faire nombreux.
Je retrouvai rapidement le moral. D’une éducation rigide, la nuit, je rêvais de débauches… De queues qui me glissaient sur le visage, s’enfilaient partout en mois et m’arrosaient de sperme chaud.

Grâce à Fgirl, je fis la rencontre d’un chef d’entreprise genevois, il avait la quarantaine, il portait un beau costume, il était grand et charmant. Il savait jouer de la séduction et semblait à l’aise avec la femme. Il ne tarda pas à me proposer de le rejoindre dans son grand appartement et me dit « Je veux que vous soyez disponible en permanence pour satisfait mes envies », avait-il confié. Nicole ne voyait pas trop où il voulait en venir, mais une augmentation substantielle de son salaire leva ses doutes.

Arrivé chez lui, il m’a offert une coupe de champagne puis m’a allongé sur le lit. On échangera des câlins torrides et baveux sans interruptions pendant plusieurs minutes. Ma chatte était trempée et je pouvais sentir son sexe durcir. Il fallait que j’assume mon statu de courtisane de luxe pour une nuit. 

J’étais devenu ne fille de joie l’espace d’un instant. Actrice par procuration, j’ai vite sauté dans le rôle pour l’endosser pleinement. Les salons de massage à Genève ne m’excitaient pas. Je voulais vivre dans la peau d’une pute de luxe et me déplacer chez des clients fortunés de bonne famille. Il est vrai que ce chef d’entreprise avait tout pour plaire, mais j’étais là pour vivre ma seconde relation de cul. Cette baise fut explosive, intense et pimenter. 

On a fait l’amour pendant deux bonnes heures à en transpirer à grosses gouttes. Il m’a ramoné en levrette comme je le désirai. J’ai eu l’impression de vivre un second dépucelage tellement c’était bon. Nous avons fusionné le temps d’un instant, nos deux cors ne faisaient plus qu’un.

J’ai terminé le plaisir de mon nouveau partenaire avec la pratique que j’aimais faire à mon ex-mari, une bonne pipe nature. Je pris donc son gland en bouche et le fit cracher tout le jus qu’il avait jusqu’à la dernière goutte. C’était un réel plaisir que de le satisfaire de la sorte, son pénis me donna une satisfaction sans précédent. 

Depuis cette soirée, j’ai continué à enchaîner les rencontres d’un soir grâce à Fgirl. Je ne fais pas cela pour l’argent, mais surtout pour vivre des expériences uniques lors de chaque meeting. Vivre de débauche et d’homme marié, oui, mais jamais plus d’une rencontre afin de ne pas tomber amoureuse. J’ai fini par accepter que je pouvais faire escort à temps partiel, uniquement par désir de cul intense et non dépendante du côté financier. Je n’ai pas le péché de l’avarice qui me ronge à devoir posséder des objets de marque de luxe. Avis aux amateurs, le porno, c’est bien, mais la luxure à deux, c’est mieux.